360 Journal
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05/2006
Attrape-moi si tu peux ! - Développer les usages professionnels de l'informatique


04/2006
Quaero : "La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf" - Version 2.0


03/2006
Capital-risque : constant gardening (2/2)


02/2006
Capital-risque : constant gardening (1/2)


01/2006
Les trois pivots d'un projet S.I. réussi


12/2005
La convergence : eldorado ou illusion ? (2/2)


11/2005
La convergence : eldorado ou illusion ? (1/2)


10/2005
Valeur ajoutée et système d'information (2/2)


09/2005
Valeur ajoutée et système d'information (1/2)


07&08/2005
Communication électronique : attention, danger !


06/2005
Légitimité des contenus sur Internet : une vertueuse incertitude


05/2005
Google versus bibliothèque numérique européenne : et si l'on pensait aux utilisateurs ?


04/2005
Manager l'informatique : nouveaux rôles et métiers émergents (2/2)


03/2005
Manager l'informatique : nouveaux rôles et métiers émergents (1/2)


02/2005
Les marchés d’opinions – un outil d’avenir ?


01/2005
Convergence des investissements alternatifs : une impasse


12/2004
Gérer la connaissance : de la codification à la collaboration


11/2004
Weblogs et wikis : peu d’innovation, beaucoup de valeur ajoutée


10/2004
Financement de l’innovation : trop ou pas assez de capitaux ?


09/2004
L’information numérique et le dirigeant : entre caution morale et outil de pilotage


07&08/2004
Rechercher des contenus numériques, demain


06/2004
Les moteurs de recherche innovent-ils encore ?


05/2004
Attention : la fracture numérique nuit gravement à la performance !


04/2004
Communication d’entreprise : pour une approche diplomatique des technologies de l’information


03/2004
Les technologies de l'information et de la communication (TIC), support et objet de la négociation sociale dans l'entreprise


02/2004
Investir dans l’innovation est une démarche de développement durable


01/2004
Les nouveaux modèles économiques du contenu en ligne


12/2003
Vers l'Intranet Management


11/2003
« Pas d’amorçage sans intervention publique, ni de prise en compte des facteurs culturels » (2/2)


10/2003
« Pas d’amorçage sans intervention publique, ni de prise en compte des facteurs culturels » (1/2)


09/2003
Intranet et motivation des individus au travail


07&08/2003
Sécurité financière : anticiper et accompagner


06/2003
Gestion du capital intellectuel : le KM à l'épreuve des start-ups


05/2003
Internet et pricing : une révolution peut en cacher une autre


04/2003
ROI des projets e-business : entre impératif économique et impasse méthodologique


03/2003
Communication financière : innover enfin ?


02/2003
E-learning : work (still) in progress


01/2003
Neuer Markt : un ange passe...


12/2002
Capital-risque : entrée dans l'âge adulte ?


11/2002
Vers un retour en grâce de l'intermédiation financière ?


10/2002
Redevances, peau de chagrin du Ministère de la Culture


09/2002
Projets informatiques : le nécessaire mea culpa des consultants


05/2001
Corporate venturing et capital-risque : compétition ou
coopération ?


01/2001
Mais qu'entendez-vous donc par "interactivité"?


09/2000
L'an 00 de la nouvelle économie




Chroniques

Attrape-moi si tu peux ! - Développer les usages professionnels de l'informatique

05/2006 - Nicolas Humeau

Les relations professionnelles combinent interactions humaines directes et interactions " médiatisées " via les technologies de l'information, de la communication et de la connaissance (TICC). Ces deux types d'interactions évoluent à des rythmes différents. L'interaction humaine est un processus dans lequel on apprend progressivement à connaître l'autre. L'interaction médiatisée procède au contraire par rupture, par saut technologique, obligeant l'utilisateur potentiel à s'adapter rapidement sous peine d'éviction (" fracture numérique "). Ceci amène Henri Isaac, maître de conférence en sciences de gestion à l'université de Paris Dauphine, à observer que " les comportements humains n'évoluent pas au même rythme que les technologies ". Nous pouvons mettre cette observation en équation.


Quaero : "La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf" - Version 2.0

04/2006 - Cyril Demaria

La sérendipité (ou « don de faire par hasard des découvertes heureuses ») est sans doute un art qu'il est impossible de pratiquer à la Bibliothèque Nationale de France (site François-Mitterrand). L'antithèse présidentielle d'une vision borgésienne de la bibliothèque, en somme, et qui transcende les clivages politiques français. Quaero en est la dernière expression : opaque, inaccessible, élististe.


Capital-risque : constant gardening (2/2)

03/2006 - Cyril Demaria

Le capital-risque européen souffre d'une mauvaise image. L'opinion est très répandue que les rendements des fonds européens sont condamnés à être inférieurs à ceux de leurs homologues américains. Cette opinion est à relativiser. S'improviser investisseur en capital-risque est illusoire. 1998-2003 a marqué cette prise de conscience en Europe. La déception n'en a été que plus grande quand ce secteur émergeant a connu sa première réelle crise de croissance. Le capital-risque européen est un secteur d'investissement récent et en développement. Il faut beaucoup de temps et d'efforts pour qu'émerge un financement de l'innovation dynamique et sain.


Capital-risque : constant gardening (1/2)

02/2006 - Cyril Demaria

Le capital-risque européen souffre d'une mauvaise image. L'opinion est très répandue que les rendements des fonds européens sont condamnés à être inférieurs à ceux de leurs homologues américains. Cette opinion est à relativiser. S'improviser investisseur en capital-risque est illusoire. 1998-2003 a marqué cette prise de conscience en Europe. La déception n'en a été que plus grande quand ce secteur émergeant a connu sa première réelle crise de croissance. Le capital-risque européen est un secteur d'investissement récent et en développement. Il faut beaucoup de temps et d'efforts pour qu'émerge un financement de l'innovation dynamique et sain.


Les trois pivots d'un projet S.I. réussi

01/2006 - Nicolas Humeau

En tant que choix d'organisation, le mode projet est parvenu à maturité. Non seulement le management par projet ne suscite plus débat, mais encore il s'érige en bonne pratique. En tant que voie d'action, le mode projet est encore plus banalisé. Le management de projet constitue le pilier de tout portefeuille de compétences. Pour autant, face aux difficultés pratiques qui font du métier de chef de projet - et notamment de chef de projet S.I. - un sacerdoce, ne devrait-on pas réinterroger quelques fondamentaux du mode projet ? D'où vient cet écart entre une vision idéalisée et une réalité moins que rose ?


La convergence : eldorado ou illusion ? (2/2)

12/2005 - Frédéric Bachelet

Les rêves de convergence d'équipements électroniques sont récurrents. Il n'existe pourtant que très peu de succès commerciaux d'outils multifonction. Plusieurs échecs prouvent le manque d'intérêt pour des outils complexes, peu souples et qui n'apportent que souvent qu'un service supplémentaire très relatif. Malgré ces échecs, les fabricants persistent. L'elodorado, ou l'illusion, d'une intégration complète et d'une expérience numérique totale demeure, sans que nécessairement la question d'un marché viable soit réellement posée. Quelles sont les raisons freinant le développement des technologies convergentes ? Comment résoudre la contradiction visant à la convergence sans cannibaliser les marchés sous-jacents ? Comment faire enfin accepter la convergence à l'ère numérique ?


La convergence : eldorado ou illusion ? (1/2)

11/2005 - Frédéric Bachelet

Les rêves de convergence d'équipements électroniques sont récurrents. Il n'existe pourtant que très peu de succès commerciaux d'outils multifonction. Plusieurs échecs prouvent le manque d'intérêt pour des outils complexes, peu souples et qui n'apportent que souvent qu'un service supplémentaire très relatif. Malgré ces échecs, les fabricants persistent. L'elodorado, ou l'illusion, d'une intégration complète et d'une expérience numérique totale demeure, sans que nécessairement la question d'un marché viable soit réellement posée. Quelles sont les raisons freinant le développement des technologies convergentes ? Comment résoudre la contradiction visant à la convergence sans cannibaliser les marchés sous-jacents ? Comment faire enfin accepter la convergence à l'ère numérique ?


Valeur ajoutée et système d'information (2/2)

10/2005 - Nicolas Humeau

À la fin des années 1980, le prix Nobel d'économie Robert M. Solow énonça le paradoxe selon lequel les investissements informatiques des quinze années précédentes, bien que motivés par la recherche de gains de productivité, n'avaient pas prouvé leur efficacité. Sur une période de temps semblable, d'autres gisements de productivité auraient par le passé suscité de véritables révolutions industrielles, déterminant des cycles de croissance économique. Nicholas Carr (2004) a récemment relancé le débat de la valeur ajoutée informatique, dont la difficulté est de ne trouver réponse ni dans des prises de position subjectives, ni dans des outils de calcul prétendant à l'objectivité, ni dans le recours aveugle à l'externalisation de tout ou partie du système d'information.


Valeur ajoutée et système d'information (1/2)

09/2005 - Nicolas Humeau

À la fin des années 1980, le prix Nobel d'économie Robert M. Solow énonça le paradoxe selon lequel les investissements informatiques des quinze années précédentes, bien que motivés par la recherche de gains de productivité, n'avaient pas prouvé leur efficacité. Sur une période de temps semblable, d'autres gisements de productivité auraient par le passé suscité de véritables révolutions industrielles, déterminant des cycles de croissance économique. Nicholas Carr (2004) a récemment relancé le débat de la valeur ajoutée informatique, dont la difficulté est de ne trouver réponse ni dans des prises de position subjectives, ni dans des outils de calcul prétendant à l'objectivité, ni dans le recours aveugle à l'externalisation de tout ou partie du système d'information.


Communication électronique : attention, danger !

07&08/2005 - Nicolas Humeau (publié par Netéconomie, août 2005)

Faute de restituer les signaux verbaux et comportementaux, les moyens de communication ne proposant ni l'image, ni le son - comme le courrier électronique ou la messagerie instantanée dans leur forme actuelle -, donnent lieu à interprétation. Dans l'environnement professionnel, et particulièrement dans la relation hiérarchique, la communication électronique induit d'autant plus de biais que l'écrit y fait foi. De la conscience plus ou moins aigue de la marge d'interprétation découlent des comportements dangereux.


Légitimité des contenus sur Internet : une vertueuse incertitude

06/2005 - Laurent Kretzschmar

Sites officiels ou non officiels, blogs, forums, chat, opinions, rumeurs, site de contrefaçon… Internet a mis en exergue d'une façon inédite les dimensions critiques d'une information : véracité, fiabilité et rapidité d'accès. A l'heure de la surinformation, la vérification de la fiabilité d'une information devient problématique. Le Drudge Report a ainsi été capable de révéler des affaires politiques réelles (Monica Lewinski), mais aussi de publier les histoires les plus fantasques.


Google versus bibliothèque numérique européenne : et si l'on pensait aux utilisateurs ?

05/2005 - Véronique Mesguich
(publié par Libération, Juillet 2005)

Les réactions, parfois passionnées, à l'annonce du projet de Google visant à numériser et mettre en ligne les fonds de bibliothèques universitaires ou publiques, ne furent pas, en France du moins, un "bonheur extravagant". Mais, alors que la notion de "document" est en train de changer et que ses usages peuvent différer sensiblement, ne serait-il pas plus judicieux, au lieu de mettre en avant les outils, de penser d'abord aux "contenus" et à leurs utilisateurs ?


Manager l'informatique : nouveaux rôles et métiers émergents (2/2)

04/2005 - Nicolas Humeau

Il est acquis qu'un dialogue doit s'établir entre la direction des systèmes d'information et la direction des ressources humaines, dépositaires de dimensions complémentaires du management du changement. Pour chacune, de nouveaux enjeux entraînent de nouvelles définitions de fonction et nécessitent de nouveaux profils pour les occuper. Ces enjeux ouvrent aussi la voie aux métiers émergents du management des technologies de l'information, encore incertains dans leurs contours et leur pérennité.


Manager l'informatique : nouveaux rôles et métiers émergents (1/2)

03/2005 - Nicolas Humeau

L'informatique est à la fois comparable aux circuits hydrauliques et au moteur d'une automobile. Omniprésente (pervasive), l'informatique huile les rouages des organisations. Elle est également le moteur qui permet la circulation du capital intellectuel et la délivrance des processus opérationnels. Ses fuites peuvent être techniques, mais peuvent aussi bien révéler les carences du conducteur. Elle questionne alors le rôle de ses promoteurs dans l'organisation et fait mesurer au management ses limites à conduire le changement technologique et à dialoguer.


Les marchés d’opinions – un outil d’avenir ?

02/2005 - Frédéric Bachelet

Les succès des entreprises tiennent pour beaucoup à l’habileté des équipes de direction à anticiper les effets d’événement futurs sur l’organisation et la stratégie. Cet exercice est délicat. Bien souvent, il implique un mélange savant d’analyse de données et d’intuition dont il est par nature impossible de mesurer la validité. Les marchés d’opinions offrent une alternative robuste destinée à réduire les risques associés à l’intuition individuelle. En formant des marchés actifs d’opinions sur lesquels des dizaines d’individus échangent, contre valeur, leurs analyses, cette méthodologie se propose de réunir les savoirs éparses de l’entreprise et de former une vision collective d’un événement futur, statistiquement plus précise et surtout, mesurable. C’est cette mesure qui intéresse l’entreprise, puisqu’elle facilite les processus de décision, que ce soit pour optimiser l’organisation quotidienne ou pour valoriser investissements et projets avec plus d’exactitude.


Convergence des investissements alternatifs : une impasse

01/2005 - Cyril Demaria
(publié par Always-On Network, 10.02.05)

Perçus comme relais idéal de marchés cotés sans relief, les investissements alternatifs (capital investissement, fonds d’arbitrage et immobilier principalement) font l’objet d’une frénésie croissante. Les allocations d’actifs des investisseurs institutionnels (tels que les fonds de retraite) aux investissements alternatifs augmentent de manière régulière, inondant des secteurs fragiles sous des flux de capitaux. Les marchés de l’arbitrage (hedge funds) et de l’immobilier sont régulièrement cités comme étant potentiellement en surchauffe. Selon JP Morgan, les fonds d’arbitrage gèrent actuellement 1000 milliards de dollars avant effet de levier. Les prix de l’immobilier explosent, sous l’impact combiné du vieillissement de sociétés développées modifiant leur allocation d’actif et du profil de rendement-risque historiquement attractif que cette classe d’actif offre aux assurances et fonds de retraites. Les rendements des fonds d’immobilier, tout comme des fonds d’arbitrage, sont attendus en baisse : « il y a plus de transparence en affaires, il est donc de plus en plus difficile de trouver un joyau caché », comme l’indique Henry Kravis, fondateur du fameux fonds de leveraged buy out (LBO) KKR.


Gérer la connaissance : de la codification à la collaboration

12/2004 - Laurent Kretzschmar
(publié par Knowledge Board, février 2005)

Les applications de la gestion des connaissances (ou knowledge management, KM) à l’environnement professionnel sont un phénomène relativement récent. Elles datent de moins de vingt ans et ne sont pas encore adoptées par toutes les entreprises. Lorsque c’est le cas, elles ne sont pas positionnées de manière uniforme dans l’organisation (la gestion des connaissances peut relever d’un directeur ad hoc, de la DSI, des RH, ou encore directement des divisions opérationnelles). Après tout, il n’y a pas si longtemps, des études ne titraient-elles pas « Le KM, un feu de paille ? ». Malgré cette jeunesse, le KM n’en est plus à ses débuts. Il a déjà traversé plusieurs phases et les premières expérimentations, brouillonnes et coûteuses, ont fait l’objet d’une censure par des instances dirigeantes d’abord attentives puis inquiètes. Le foisonnement de nouvelles technologies (applications mobiles, blogs, wikis, messagerie instantanée professionnelle) peut-il être synonyme d’un regain d’intérêt ?


Weblogs et wikis : peu d’innovation, beaucoup de valeur ajoutée

11/2004 - Nicolas Humeau

L’année 2004 a vu la popularisation d’une expression nouvelle dans l’environnement Web : « blogger ». Le blogging entraîne dans son sillage les multiples espoirs d’internautes - et, plus récemment, d’intranautes - à la recherche d’une nouvelle dynamique d’expression. Réputé facile d’emploi et plus interactif que le site web traditionnel, le weblog semble aujourd’hui constituer le nouvel horizon de l’expression en ligne. En juin 2004, le National Institute for Technology and Liberal Education chiffrait ainsi la population des bloggers américains à entre deux et huit millions d'invidus. Moins connu du grand public, le wiki, doté de fonctionnalités avancées de publication collaborative, participe lui aussi de la marche vers ce nouvel horizon.


Financement de l’innovation : trop ou pas assez de capitaux ?

10/2004 - Cyril Demaria

Comme tout secteur en expansion, le capital-risque connaît des cycles. Celui de 1997-2003 est analysé comme un excédent de capitaux disponibles au regard de la capacité d’absorption du marché. Aux Etats-Unis, il y aurait aujourd’hui entre 68 et 86 milliards de dollars à investir en capital-risque, à comparer aux 27 milliards investis en Amérique du Nord en capital-risque technologique pour l’année 2003. Toutefois, en flux, cela ne représente que deux à trois ans d’investissements. Compte tenu du fait que chaque fonds de capital-risque levé sera investi en cinq ans, cette situation est assez logique. Que s’est-il réellement passé ?


L’information numérique et le dirigeant : entre caution morale et outil de pilotage

09/2004 - Nicolas Humeau & Cyril Demaria

Trop souvent encore, la direction générale reste une fonction indirectement impliquée dans l’évolution des schémas directeurs informatiques, ainsi que dans leur traduction concrète dans les pratiques de gestion de l’information au quotidien. C’est un peu comme si la fracture numérique s’appliquait ici à l’envers : ce sont moins les « cols bleus » que les dirigeants eux-mêmes qui maîtrisent le moins les outils technologiques à leur disposition. Cet aveuglement est préjudiciable car deux enjeux applicatifs spécifiques à la direction générale, et relatifs au traitement de l’information numérique par le système d’information, se posent à court et moyen terme : viabiliser l’information et piloter l’activité grâce à elle.


Rechercher des contenus numériques, demain

07&08/2004 - Cyril Demaria, Nicolas humeau & Laurent Kretzschmar

Le mois dernier, le 360Journal constatait que le coeur de la technologie des moteurs de recherche ne s'améliorait plus de manière visible, l'innovation se situant désormais en marge du produit principal. Il est question ce mois-ci d'entrer au coeur de ces innovations, en présentant les fonctionnalités de plusieurs moteurs de recherche de nouvelle génération, avant d'aborder les ruptures technologiques à plus long terme qui déterminent l'évolution de ce marché. Parmi ces ruptures, des concepts tels que la "Serendipity" (la science des découvertes pertinentes), le "Reality Mining" (la réalité virtuelle appliquée à la recherche) et les "Persuasive Technologies" (l'influence de la machine sur l'objet même de la recherche de l'homme) seront abordés, avant de conclure sur le fil rouge qui continuera à guider les développements futurs : la personnalisation.


Les moteurs de recherche innovent-ils encore ?

06/2004 - Cyril Demaria, Nicolas Humeau & Laurent Kretzschmar

Enjeu commercial majeur, le moteur de recherche est devenu un « produit d’appel ». Bénéficiant d’une image de spécialiste de la recherche, Google s’est rapidement imposé. Pour s’attaquer aux leaders, il a en effet proposé une page d'accueil sans publicité et séparé distinctement les liens sponsorisés des liens classiques, classés par leur degré de popularité. Mais bien que leader sur son marché, Google fait face à l’amélioration progressive de la performance des moteurs concurrents, ce qui diminue peu à peu son avantage concurrentiel. Malgré les améliorations techniques, le coeur de la technologie des moteurs de recherche ne s'améliore plus de manière visible. L’innovation se situe en marge du produit principal.

Attention : la fracture numérique nuit gravement à la performance !
05/2004 - Nicolas Humeau (publié par Netéconomie, juin 2004)

La fracture numérique est un concept protéiforme dont l'aspect professionnel est trop souvent relégué au second plan. A l'ère du management de et par l'information, l'inégal accès entre catégories de salariés à des terminaux de consultation et à des contenus numériques sous-optimise, voire annihile, l'effet de levier technologique dans les organisations. Ainsi, quand une entreprise ou une institution est numériquement fracturée, elle a « mal à sa performance » tout autant qu'à son corps social et se doit de trouver le chemin de la guérison. Les difficultés que vivent les cols bleus, les personnes handicapées, ainsi que les personnes peu familiarisées avec l'environnement informatique s'en trouveront aplanies, pour une performance accrue.


Communication d’entreprise : pour une approche diplomatique des technologies de l’information

04/2004 - Frédéric Bachelet

Alors que le public a appris à maîtriser et à utiliser à son avantage les ressources offertes par les technologies de l’information, les entreprises continuent à utiliser des techniques issues de médias classiques pour communiquer sur leurs produits et véhiculer leur image. Cet article entend préciser en quoi ces techniques sont inadaptées aux fonctionnements interactifs caractéristiques des nouveaux médias et proposer aux entreprises le développement de mécanismes simples pour promouvoir une « diplomatie des affaires » leur permettant de participer activement aux réseaux de communication, sinon pour les contrôler du moins pour les appréhender de manière constructive.


Les technologies de l'information et de la communication (TIC), support et objet de la négociation sociale

03/2004 - Nicolas Humeau (publié par La Tribune, janvier 2004, et l'APRAT)

Parmi les TIC irriguant aujourd'hui les entreprises, l'intranet, en tant que guichet central d'information et d'interaction, est devenu le relais incontournable de toute politique RH. En complément des canaux plus traditionnels, et à moyen terme, l'intranet a donc vocation à devenir le lieu privilégié où se communiqueront, se débattront - voire se structureront - les termes de la négociation sociale dans l'entreprise. L'impact des TIC sur l'organisation du travail occupe par ailleurs une place majeure dans le discours syndical. Ainsi les TIC constituent, outre une plate-forme de débat pour la négociation sociale dans l'entreprise, l'un des objets de ce débat. Cet enjeu "relations sociales" des TIC, dans ses deux composantes, interroge durablement, à divers titres et degrés, Directeurs des systèmes d'information, Directeurs des ressources humaines et Directeurs des relations sociales. Dans un univers professionnel où la fracture numérique se réduit chaque jour un peu plus, il est grand temps d'agir.


Investir dans l'innovation est une démarche de développement durable

02/2004 - Cyril Demaria

Faut-il regretter l’implication des groupes privés dans la recherche et le développement, que ce soit dans les technologies de l’information ou dans les sciences de la vie ? L’essentiel de l’effort de recherche provient aujourd’hui de la sphère privée des Etats développés : selon l’OCDE, en 2000 la part du privé représentait entre 54% (France) et 73% (Japon) de la dépense intérieure brute de R&D. Le financement privé de la recherche étant désormais incontournable, il convient d’analyser l’impact de cette transformation sur l’espace public.


Les nouveaux modèles économiques du contenu en ligne

01/2004 - Laurent Kretschmar & Cyril Demaria

Tuyaux ou contenu ? Lequel fait vendre l’autre ? Au plus fort du boom technologique, ce débat était au cœur des stratégies de groupes comme Vivendi ou AOL. Il a fait long feu. Aujourd'hui, aucun segment du marché du contenu ne semble proche de la rentabilité et dans bien des cas, le contenu est devenu une commodité. Dans ce contexte, le rendre payant est un exercice périlleux, les modèles publicitaires ou payants semblant inadaptés.


Vers l'Intranet Management

12/2003 - Nicolas Humeau (publié dans Le Journal du Management, décembre 2003, et l'APRAT)

Quand un manager veut agir sur l'efficacité d'un collaborateur, les déterminants individuels du parcours de ce dernier (diplôme acquis, degré de maîtrise d'une technique) n'offrent pas suffisamment prise. Il faut considérer tous les éléments socio-organisationnels qui, in fine, produisent le "travaillant". Or, la diffusion des technologies de l'information (TIC) a introduit de nouveaux lieux d'expression pour, et de nouveaux leviers d'action sur, le comportement en situation professionnelle. Les intranets de nouvelle génération, dont l'émergence nourrit un débat sur la fracture numérique, offrent ainsi des perspectives inédites aux managers.


Pas d’amorçage sans intervention publique, ni de prise en compte des facteurs culturels (2/2)

11/2003 - Nicolas Humeau & Cyril Demaria

Pour Gérard Debrinay, Président d'Algoé Consultants et d'Amorçage Rhône-Alpes (ARA), au-delà de la question du financement c'est le rôle de la puissance publique qui est au coeur des problématiques actuelles d'innovation. L'équipe du 360journal a souhaité analyser avec lui la situation régionale et internationale du capital-risque et ses relations avec le conseil.


Pas d’amorçage sans intervention publique, ni de prise en compte des facteurs culturels (1/2)

10/2003 - Nicolas Humeau & Cyril Demaria

Pour Gérard Debrinay, Président d'Algoé Consultants et d'Amorçage Rhône-Alpes (ARA), au-delà de la question du financement c'est le rôle de la puissance publique qui est au coeur des problématiques actuelles d'innovation. L'équipe du 360journal a souhaité analyser avec lui la situation actuelle du capital-risque à travers le rôle spécifique de l'ARA, l’état de l'amorçage en France, l'intervention publique et ses conséquences ainsi que les obstacles à l'innovation technologique et à son financement.


Intranet et motivation des individus au travail

09/2003 - Nicolas Humeau (publié par l'Observatoire de la e-collaboration, février 2004)

Si l'on veut expliquer le degré de motivation professionnelle d'une personne, les déterminants strictement individuels n'y suffisent pas : il faut analyser l’ensemble des éléments d'environnement qui façonnent le "travaillant". C'est l'objet de la sociologie des organisations, dont trois théories fondatrices permettent aux encadrants de mieux manager la motivation. Le développement des intranets ces cinq dernières années constitue à la fois une illustration de ce principe et un levier d'action sur celui-ci.


Sécurité financière : anticiper et accompagner

07&08/2003 - Cyril Demaria

Le Sarbanes-Oxley Act impose des contraintes disproportionnées aux valeurs technologiques de croissance. Devenues trop risquées, elles sont condamnées à l'anonymat. L'économie risque d'être divisée entre un petit nombre de conglomérats consacrés par la cote et des entreprises aspirant à y entrer pour financer leur expansion. Cela fait peser un risque systémique non négligeable sur la cote et raréfie les scénarios de sortie pour les fonds de capital-risque. Il est donc nécessaire de rééquilibrer l'allocation d'actifs en limitant la montée en puissance des fonds de LBO/retournement au profit du capital-risque sans quoi le financement de l'innovation risque de s'en trouver durablement handicapé. La loi sur la sécurité financière est le moyen de prévenir ces dérives potentielles.


Gestion du capital intellectuel : le KM à l'épreuve des start-ups

06/2003 - Nicolas Humeau & Laurent Kretzschmar

"Entreprendre, c'est apprendre ensemble" - Pour Bruno Vincenti, expert en management de l'information, de la communication et de la connaissance, le Knowledge Management est indispensable à la constitution, à la protection et au développement du capital intellectuel des PME. L'équipe du 360journal a souhaité examiner avec lui le cas particulier des start-ups, proposant une typologie des différentes dimensions de la connaissance selon quatre axes : leur rapport au temps, à l'espace concurrentiel, au statut même de l'information et enfin au facteur humain.


Internet et pricing : une révolution peut en cacher une autre

05/2003 - Nicolas Humeau, Laurent Kretzschmar & Cyril Demaria

Internet a radicalement modifié notre perception de l'information, et au premier chef des prix. La bataille des prix a d'abord émergé comme un moyen d'acquérir un leadership via le gain de parts de marché. La segmentation des marchés a été profondément remise en cause et les exigences des clients et le rôle des intermédiaires ont considérablement évolué. Mais si une structure de prix rénovée a émergé au travers des shopbots, sites d'enchères et autres méthodes de fixation dynamique des prix, plus qu'une révolution des prix, Internet a révélé une demande insatisfaite de services cachés. L'arbitrage quasi-instantané des prix des produits « nus » s'est accompagné de l'émergence de services associés.


ROI des projets e-business : entre impératif économique et impasse méthodologique

04/2003 - Nicolas Humeau & Cyril Demaria

Aujourd'hui encore, justifier un investissement technologique consiste à tenter de démontrer l'utilité concrète de projets e-business manquant d'objectifs clairs et d'indicateurs précis de résultat. La mesure du retour sur investissement ("ROI") se trouve à cet égard au coeur de nombreux débats et reste indéniablement complexe. Pour sortir de cette impasse, le ROI doit être évalué au plus près du e-projet, et ne pas se limiter à ses connotations financières habituelles. Il doit par ailleurs s'inscrire, en plusieurs étapes distinctes, dans une démarche participative d'évaluation par un groupe élargi de parties prenantes.


Communication financière : innover enfin ?

03/2003 - Cyril Demaria & Jane McConnell

Les scandales financiers de 2002 ont révélé des failles préoccupantes en matière d'information financière. Son effacement au profit de la communication, associé à une lutte féroce entre la nécessité légale d’informer le public et la volonté de produire une image flatteuse de l’entreprise, l'ont transformée en une forme aboutie de présentation cosmétique du passé.

Seul un véritable changement d’approche redonnera un sens à l’information financière, notamment en matière de prévention, seule apte à rétablir la confiance des actionnaires. Cela implique aussi de leur donner réellement les moyens de participer aux processus de prise de décisions.


E-learning: work (still) in progress

02/2003 - Nicolas Humeau

Le marché du e-learning est composite, car il concerne tant le monde de l'éducation que celui de l'entreprise. Ces deux univers ont cependant de nombreux points communs, notamment pour ce qui concerne les principaux acteurs : offreurs de contenant, de contenus, portails d'intermédiation et prestataires...

Quant aux utilisateurs, ils interagissent avec l'ordinateur suivant diverses modalités : seuls ou en groupe ; avec l'aide ou non d'un tuteur ; en direct ou en différé. Ces modalités sont à leur tour combinées entre elles pour proposer des conditions d'apprentissage sur mesure à un public donné.

Le e-learning entretient des liens étroits avec la gestion prévisionnelle des emplois et compétences, la gestion des connaissances et les intranets de ressources humaines d'une manière générale. Sa mise en place doit être étudiée à la lumière des opportunités, menaces et facteurs-clés de succès qui lui sont propres.


Neuer Markt : un ange passe...

01/2003 - Cyril Demaria & Laurent Kretzschmar

La fermeture du Neuer Markt marque la fin du bref état de grâce dont a bénéficié l'innovation technologique en Europe. Elle sonne comme un aveu d'échec : celui de la transposition du modèle anglo-saxon d'actionnariat populaire susceptible de financer cette innovation technologique. Or, dans le phénomène de bulle spéculative, les fonds d'investissement ont eu leur part de responsabilité, qui reste à évaluer. Dès lors, pourquoi ne pas reconvertir les outils disponibles comme le Neuer Markt en outils d'évaluation des fonds d'investissement ?


Capital-risque : entrée dans l'âge adulte ?

12/2002 - Cyril Demaria & Nicolas Humeau

Le secteur du capital-risque traverse une phase de profonde mutation : fusions, cessions de portefeuilles, cessation d'activité. Certains fonds voient cependant leurs allocations augmenter, sans que le fait de grossir, pour un fonds, soit nécessairement un gage de succès. Les pôles traditionnels de compétence des fonds ne sont désormais plus de leur ressort exclusif et un des principaux axes de ce nouveau modèle s'articule autour d'une relation enrichie, à la fois partenariale et culturelle, entre fonds et sociétés de conseil. Parallèlement, l'investissement proprement dit devient une activité de plus en plus compétitive, car les fonds pratiquent désormais un arbitrage non seulement sectoriel et financier, mais aussi géographique. Pour faire face à cette concurrence, le secteur du capital-risque français doit entamer sa mutation et se positionner pour la prochaine vague d'innovations.


Vers un retour en grâce de l'intermédiation financière ?

11/2002 - Cyril Demaria & Laurent Kretzschmar

L’aventure du trading en ligne a supprimé certains filtres d’analyse traditionnels, notamment celui du banquier. De nombreux particuliers se sont directement aventurés à leurs risques et périls sur les routes de l’investissement non coté. Le retournement des marchés a porté un sérieux coup à l’illusion de la gestion directe - mais cela ne réhabilite pas pour autant les pratiques passéistes de la finance personnelle traditionnelle. Autrefois, l’intermédiation financière associait des produits uniformes peu attractifs à des conseils de base. Désormais, elle propose non seulement de fournir des conseils intégrés et personnalisés, mais elle s’ouvre aussi à des produits complexes accessibles au particulier. Ainsi en va-t-il des fonds de fonds, instruments trop méconnus.


Redevances, peau de chagrin du Ministère de la Culture

10/2002 - Cyril Demaria

Le projet de redevance sur les supports numériques du Ministère de la Culture a eu le mérite de mettre en lumière une vision périmée de la politique culturelle française. Le statut des biens culturels a évolué avec la numérisation de la chaîne de valeur des industries musicales, audiovisuelles et littéraires. La valeur disruptive de ces outils réside dans l'effet de levier qu'accompagne leur introduction dans la chaîne de valeur : la numérisation diminue les coûts de chaque étape de la chaîne et en change radicalement les contraintes. Cet effet de levier technologique est d'autant plus perceptible que les contraintes étaient pesantes. Les consommateurs peuvent obtenir immédiatement un large choix de fichiers, sans perte de qualité notable, simplement et pour un coût infime. Vouloir taxer ces espaces d'échange est impossible, tout comme les espaces de stockage en ligne gratuits et illimités, accessibles directement par des périphériques reposant techniquement sur un stockage distant situé n'importe où. L'assiette des redevances est donc condamnée à devenir une peau de chagrin.


Projets informatiques : le nécessaire mea culpa des consultants

09/2002 - Nicolas Humeau (publié par Netéconomie, novembre 2003)

Les projets informatiques au sens large (mise en place d'ERP, projets EAI, projets Inter-/intra/extranets...) sont traditionnellement consommateurs de conseil, que ce soit en amont (études d'opportunité), durant le projet lui-même en cours de déploiement (assistance à maîtrise d'ouvrage, à maîtrise d'œuvre), ou en aval de celui-ci (formation des utilisateurs et, plus généralement, "mise en tension" organisationnelle). Or, le paradoxe apparent réside en ceci que ce sont précisément ces projets fortement encadrés qui connaissent le taux d'insatisfaction, voire d'échec, le plus élevé. De là à y voir une relation de cause à effet...
Ce paradoxe sera analysé dans le cadre d’une assistance à maîtrise d'ouvrage en adoptant successivement le point de vue de chaque acteur.


Corporate venturing et capital-risque : compétition ou
coopération ?

05/2001 – Cyril Demaria & Laurent Kretzschmar

Revenu en grâce auprès des grandes entreprises malgré la fin de la vague de la net économie, le corporate venturing n'offre plus la perspective de plus-values importantes à court terme. De nombreux exemples récents illustrent les spécificités et les attraits du corporate venturing, une série de tests simples devant permettre de définir le "code génétique" des organisations susceptibles de tirer profit de ce genre d'opérations.


Mais qu'entendez-vous donc par "interactivité"?

01/2001 - Cyril Demaria (publié dans Les Echos, 24.1.01, p. 61)

L'interactivité combine la liberté de l'utilisateur d'intervenir à tout moment dans un processus ; le choix d'une action parmi une quasi-infinité d'options ; et une réponse directe, immédiate et adaptée du support à sa sollicitation. La liberté d'intervention de l'utilisateur et sa latitude d'action procèdent d'une adaptation du support à la liberté initiale de l'utilisateur, à l'image d'Internet. Les entreprises qui ont tenté de limiter cette liberté s'y sont brisé les dents. Or, l'interactivité pénètre chacune des activités virtuelles de l'individu, car celui-ci cherche à s'affranchir des cadres traditionnels de consommation de l'information. Ainsi, l'avenir de l'Internet mobile ne réside pas dans les terminaux stériles que sont les téléphones mais bel et bien dans les assistants numériques (PDA). L'avenir de la « télévision interactive », quant à lui, peut laisser sceptique. Celui du PC reste flou, mais le succès du Palm Pilot est indéniablement lié à son interactivité.


L'an 00 de la nouvelle économie

09/2000 - Cyril Demaria (publié dans Les Echos, 5.9.00, p. 72)

La « nouvelle économie » n'en est qu'à ses balbutiements. Chaque entreprise doit remettre à plat son analyse stratégique et concurrentielle, en évaluant comment le changement de statut de l'information va lui permettre de faire évoluer son coeur de métier et répondre à de nouveaux besoins.
Trois exemples d'application montrent la radicalité des changements à l'oeuvre : la mue attendue des géants tentaculaires du service, le client se satisfaisant de moins en moins d'un service intégré verticalement et standardisé ; l'indispensable évolution des structures sous-jacentes à l'économie, le procès Microsoft ayant montré la difficulté que les cadres traditionnels éprouvent à maîtriser les données de l'économie digitale ; l'inévitable transformation des outils économiques fondamentaux, tels que la monnaie, l'interfaçage entre la sphère monétaire classique et la sphère virtuelle restant problématique.


 
 
 
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